Nous multiplions volontairement, ou non, la sauvegarde de données et d’informations dispersées sur différents systèmes, sans vraiment les gérer et les identifier.

Cela conduit à une saturation des serveurs ou des clouds, avec en moyenne une augmentation de 20% tous les ans. Cette progression exponentielle est corrélative à la multiplication des espaces de stockage et, par conséquent, à la croissance de notre empreinte carbone.

En moyenne, 60% des données gardées sont non structurées, superflues et/ou des doublons, on les appelle “le vrac numérique”. Suite aux constats lors de la conférence de mardi, nous vous proposons, cette fois, une méthode simple et outillée pour gérer vos vracs, réduire votre empreinte carbone et améliorer votre sobriété numérique.

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